Des articles émergent sur les limites de la communication bienveillante et ils ont bien raison de mettre en garde les parents sur le rôle de « parent parfait » qui pourrait parfois être ainsi compris à travers ces nouvelles méthodes.
Or, la communication bienveillante ne s’arrête pas à une liste de conseils en parentalité positive ! Par exemple, il ne s’agit pas de renier ses émotions de colère ! Il s’agit de se poser les bonnes questions sur ses relations mais surtout sur soi-même : pourquoi ai-je de la colère? quel est mon besoin? comment répondre à mon besoin sans demander à mon enfant de le faire à ma place?
Enfin, les coach ou thérapeutes n’ont surtout pas le rôle de culpabiliser les parents (à condition de choisir un bon coach:-)), mais leur rôle est plutôt de déculpabiliser le parent au regard de ce que la société attend de lui (« il faut être un bon parent ! », « il faut avoir des bonnes notes à l’école ! », « il faut rentrer dans les cases ! »)
Bref, lâchons le regard des autres et écoutons notre cœur !